Réveiller les Européens et défendre la démocratie, c’est en ces termes qu’Emmanuel Macron s’adressait lundi 27 mai à Dresde, à une jeunesse allemande attentive et enthousiaste.
Cette année encore, nos séminaires citoyens ont été une réussite et c'est à vous que je le dois. Vous avez été plus de 300 citoyennes et citoyens à répondre présent-e-s et à vous engager dans le débat qui avait pour thème cette année “Quelle avenir pour l’Europe au XXIème siècle” ! Fidèle à mes engagements sur la citoyenneté éclairée, j'ai associé mes concitoyens d’Allemagne, d’Europe Centrale et des Balkans à la réflexion collective sur l'avenir de l'Union européenne.
En tant que président du Groupe d’étude à vocation internationale (GEVI) sur le Bélarus, je conduis une mission d’observation des élections au Conseil de coordination de l’opposition bélarusse en exil.
Le Monde a recueilli mon commentaire le 21 mai sur la tenue des élections en ligne du conseil de coordination bélarusse, dont j'observe les élections avec un groupe d'expert.
Franceinfo m'a interrogé le mercredi 15 mai 2024 pour revenir sur la blessure par balle du Premier ministre slovaque.
J'ai pu échanger le 6 mai 2024 avec le ministre des Comptes publics, Thomas Cazenave, pour parler de résidence de repli pour les Français de l'étranger. Promesse de campagne d'Emmanuel Macron, il s'agit d'une idée dont je suis à l'origine et que je défends depuis 2017. La résidence de repli doit permettre la reconnaissance d'un lieu de résidence en France qui ne soit pas considéré comme résidence secondaire, pour leur permettre de garder un lien d'attache fort avec leur pays, la France. Cela pourra aussi faciliter des démarches administratives et fiscales.