2022 sera une année électorale en France. A mesure que les échéances approchent, le débat politique, et en particulier le débat parlementaire, a tendance à devenir simpliste. Il se résume de plus en plus souvent à des slogans que l’on rode ou au buzz pour exister. Fort heureusement, mes échanges récents avec vous me rassurent.
À partir du 1er janvier prochain, la France va assumer pour six mois la présidence du Conseil de l’Union européenne. Cette responsabilité tournante n’arrive que tous les 13 ou 14 ans. Le Conseil est, avec le Parlement (législatif) et la Commission (exécutif), l’un des trois organes politiques de l’Union : il rassemble les 27 exécutifs, avec une voix chacun, marquant le respect que nos traités accordent à la représentation des peuples quel que soit leur poids démographique.
"Depuis quelques années, les termes d’hydrodiplomatie, ou de diplomatie de l’eau, ont émergé dans le champ géopolitique. Le terme de « diplomatie » est-il d’ailleurs bien adéquat ?" Je suis persuadé que nous avons désormais besoin d’organiser notre « action dans le monde » autour de métiers et de compétences spécifiques. L'eau en fait partie. J'ai écrit une tribune à ce sujet publiée dans la Revue du Trombinoscope, que je vous invite à lire.
Après un long séjour en novembre m’ayant amené en Pologne, dans le Voralberg en Autriche, en Bavière et dans le Bade-Wurtemberg, j’ai poursuivi ce mois de décembre mes rencontres en Allemagne et à Vienne. Retour sur ces déplacements.
A l’occasion de l’envoi de mon bilan de mandat, je vous avais envoyé en septembre un questionnaire pour avoir votre avis sur l’action du gouvernement et sur celle de votre député. Vous avez été plus de 700 à me répondre et je vous en remercie chaleureusement. Par souci de transparence, j’ai souhaité rendre publics les principaux résultats de ce sondage et vous invite à les consulter.
La crise sanitaire nous a surpris il y a vingt mois maintenant. Chacun d’entre nous en a été affecté. Par la maladie ou le décès de proches ; par l’épreuve des confinements, de l’éloignement des siens, de la solitude ; par les incertitudes, les tensions que toute prise de décision peut engendrer, qu’elle soit personnelle, familiale, collective, voire politique.
Dans un article du petit journal publié le vendredi 19 novembre, je suis revenu sur mon bilan de son mandat, sur les thématiques franco-allemandes et les axes de développement de mes actions pour les mois à venir.
A l’heure où le parlement s’apprête à voter le dernier budget de la législature, il m’apparaît important de revenir sur le rôle fondamental qu’est le vote du budget pour la Nation et pour le député que je suis. Beaucoup d’entre vous connaissent l’attention que j’accorde à cette fonction essentielle du Parlement.
La flambée des prix de l’énergie qui a pris de court l’ensemble des pays de l’Union européenne ces derniers mois, est venue, une fois de plus, illustrer le défaut criant de coordination européenne dans ce domaine, en particulier dans le transport de l’électricité. Or, aujourd’hui, cette situation apparaît lourdement préjudiciable aux économies du continent.
Arrivé au deux tiers de mon mandat de député, j'ai tenu à vous rendre compte de mon action personnelle, comme je l'ai fait très régulièrement lors de nos rencontres en circonscription, et de partager avec vous mon analyse de l'action de la majorité présidentielle d'Emmanuel Macron et du Gouvernement. Chacun pourra ainsi porter un regard éclairé et critique sur cette période durant laquelle nous avons mis en oeuvre le programme présidentiel approuvé par les Françaises et Français et opéré e profondes transformations dans notre pays. Mes chères concitoyennes, mes chers concitoyens, je vous souhaite une bonne lecture.
Je me suis engagé en politique pour rendre ce qu’on m’a donné. Je suis né en Provence, ai grandi en Lorraine. Aujourd’hui encore, ces deux territoires continuent d’exercer sur moi leur empreinte. Mais ma vie personnelle et professionnelle (entrepreneur dans le public et le privé) est surtout marquée par les voyages et la rencontre avec l’autre (Cameroun, SaarLorLux, Lituanie, Pologne, Egypte, Europe centrale et Balkans). Contrairement à la violence ou l’isolement qui sont mortifères, le conflit est nécessaire à la vie. C’est pourquoi j’ai souhaité me former à la médiation. C’est elle qui constitue le fil rouge de tout mon parcours de vie et professionnel.
Allemagne, Europe centrale, Balkans
