De retour d’Ukraine, je reviens avec la conviction que notre société doit s’aguerrir face aux menaces nouvelles qui viennent.
De retour d’Ukraine, je reviens avec la conviction que notre société doit s’aguerrir face aux menaces nouvelles qui viennent.
La crise financière que traverse actuellement l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger (AEFE) constitue à terme une grave menace pour notre diplomatie. Cela fait des années que j'alerte sur la nécessité de refonder son modèle en profondeur. Je reviens dans cet article sur ma position et vous renvoie vers différents documents que j'ai pu réaliser depuis mon premier mandat.
La France aura-t-elle un budget à Noël ? Probablement, car les blocages idéologiques et électoralistes semblent se fissurer, même si l’optimisme béat n’est pas encore de mise.
Dans les pays de ma circonscription, une majorité absolue au parlement pour un seul parti est non seulement inenvisageable, mais serait considérée comme une situation dangereuse. Les discussions budgétaires des deux derniers exercices à l’Assemblée nationale me semblent donc biaisées par des malentendus institutionnels, et particulièrement frustrantes. Ainsi, le 49.3 que beaucoup caricaturent pourrait être aujourd’hui un outil efficace de médiation entre les députés de bonne volonté.
Maitrise des dépenses, équité fiscale, croissance partagée : c'est sur ce postulat que Les Démocrates ont travaillé leur propositions pour le projet de loi de finances pour 2026.
Eric Coquerel, député de La France Insoumise et président de la Commission des Finances, a une nouvelle fois présenté un amendement visant à la mise en place d’un dispositif d'imposition universelle, répondant au besoin de lutter contre les « riches français », qui « s’expatrient pour échapper à l’impôt ».
Vue de l’intérieur, la discussion budgétaire est manifestement en train d’évoluer, et sans doute dans le bon sens.
En France, et dans le monde, nous faisons face à des ingénieurs du chaos.
Les trains de nuit Paris-Berlin et Paris-Vienne ne doivent pas être supprimés, c’est leurs offres de services qui doivent être adaptées et la commercialisation améliorée.
Vérité, crédibilité, justice. En présentant le 15 juillet dernier, la situation financière et économique du pays et les efforts à consentir par la nation pour éviter la « falaise » qui nous menace, François Bayrou a tenu un discours de vérité.