La crise financière que traverse actuellement l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger (AEFE) constitue à terme une grave menace pour notre diplomatie. Cela fait des années que j'alerte sur la nécessité de refonder son modèle en profondeur. Je reviens dans cet article sur ma position et vous renvoie vers différents documents que j'ai pu réaliser depuis mon premier mandat.
Dans le suivi du courrier que j'ai envoyé à la Directrice générale de l'AEFE au début de mois de novembre, dans le contexte de la crise que traverse l'AEFE, j'ai été interrogé par lepetitjournal.com sur mon avis sur la situation de l'Agence et mes propositions de réforme.
Nous vivons trois moments importants : un moment Trump, un moment polonais et un moment franco-allemand. Et, si l’Himalaya se dresse toujours devant nous, l’horizon s’éclaircit. Profitons de ces moments pour prendre le contrepied du MAGA trumpien et opérons notre « Make Europe Great Again »
Ces dernières semaines, nous avons assisté à la construction du budget de la nation dans une ambiance délétère. La discussion budgétaire de ces derniers jours a donné une image affligeante du parlement. Je le déplore. Dans le florilège des propositions lunaires, en voici quelques-unes.
Le mercredi 23 octobre 2024, j’ai présenté en commission des affaires étrangères mon rapport budgétaire pour avis relatif à la diplomatie culturelle et d’influence, pour lequel je suis rapporteur depuis 2017.
Alors que l'incertitude domine en ce début de rentrée politique et que le Premier ministre s'apprête dans quelques heures, à tenir son discours de politique générale, je voudrais vous dire les sentiments qui m'animent et la conviction qui est la mienne.
Du 15 au 19 septembre 2024, je me suis rendu en Israël et en Palestine dans le cadre de mon rapport budgétaire pour avis sur la diplomatie culturelle et d'influence pour la Commission es affaires étrangères.
A l'occasion de la rentrée scolaire 2024, j'ai été interrogé, comme d'autres de mes collègues députés représentant les Français établis à l'étranger, par lepetitjournal.com sur les enjeux et mes actions liées à l'éducation.
Réveiller les Européens et défendre la démocratie, c'est en ces termes qu'Emmanuel Macron s'adressait lundi 27 mai à Dresde, à une jeunesse allemande attentive et enthousiaste. Devant la montée des régimes autoritaires et des discours identitaires xénophobes, il est grand temps pour les démocrates européens de reprendre le flambeau.
Notre avenir, celui de l'Union européenne toute entière, se joue dans les Balkans. La conviction profonde que je défends avec vigueur et persévérance depuis mon élection au parlement français est que l'Union européenne a autant besoin des Balkans pour affronter les défis majeurs du XXIème siècle que les Balkans ont besoin de nous pour assainir leurs institutions et assurer leur développement futur.
Je me suis engagé en politique pour rendre ce qu’on m’a donné. Je suis né en Provence, ai grandi en Lorraine. Aujourd’hui encore, ces deux territoires continuent d’exercer sur moi leur empreinte. Mais ma vie personnelle et professionnelle (entrepreneur dans le public et le privé) est surtout marquée par les voyages et la rencontre avec l’autre (Cameroun, SaarLorLux, Lituanie, Pologne, Egypte, Europe centrale et Balkans). Contrairement à la violence ou l’isolement qui sont mortifères, le conflit est nécessaire à la vie. C’est pourquoi j’ai souhaité me former à la médiation. C’est elle qui constitue le fil rouge de tout mon parcours de vie et professionnel.
Allemagne, Europe centrale, Balkans
