Le 18 octobre 2023, j’ai présenté en commission des affaires étrangères, pour la 7ème année consécutive, mon avis budgétaire relatif à la diplomatie culturelle et d’influence qui comprend les subventions allouées notamment aux réseaux culturels et d’enseignement français à l’étranger.
Mustapha Kessous, journaliste du Monde, est revenu le 18 octobre sur ma mission en Algérie dans le cadre de mon rapport pour avis sur la diplomatie culturelle et d'influence de la France.
J'étais l'invité ce mercredi 18 octobre dans la matinale de Frédéric Rivière sur RFI à l'occasion de l'examen en commission des Affaires étrangères de mon rapport pour avis sur la diplomatie culturelle et d'influence.
Notre nation est une fois encore touchée par la violence radicale islamiste. Aujourd’hui comme hier, c’est l’école qui est visée, lieu de la connaissance et de toutes les émancipations. À l'occasion de ces moments de recueillement, j'ai voulu adresser un courrier à l'ensemble de la communauté éducative francophone de notre 7è circonscription des Français établis hors de France.
Avant l'été, j'étais revenu lors d'un entretien avec Cédric Pellen, chercheur associé au Centre Marc Bloch, sur la diplomatie culturelle et d'influence de la France et le rôle de député des Français de l'étranger. Cet entretien a été retranscrit dans un podcast diffusé le 16 octobre 2023 par la Radio Marc Bloch.
« Nous aurions dû commencer par la culture ». Telle était la conviction de Jean Monnet à la fin de sa vie, s'agissant de l’Europe. La culture nous sauvera-t-elle demain du chaos du monde ? J’en suis profondément convaincu. Une culture humaniste, ouverte sur le monde. Je reviens d’Algérie, où j’ai effectué une mission de terrain, comme chaque année depuis six ans, dans le cadre de mes fonctions de rapporteur pour avis du budget de la diplomatie « culturelle », ou « d’influence ».
« Nous aurions dû commencer par la culture ». Telle était la conviction de Jean Monnet à la fin de sa vie, s'agissant de l’Europe. La culture nous sauvera-t-elle demain du chaos du monde ? J’en suis profondément convaincu. Une culture humaniste, ouverte sur le monde. Je reviens d’Algérie, où j’ai effectué une mission de terrain, comme chaque année depuis six ans, dans le cadre de mes fonctions de rapporteur pour avis du budget de la diplomatie « culturelle », ou « d’influence ».
Je me suis engagé en politique pour rendre ce qu’on m’a donné. Je suis né en Provence, ai grandi en Lorraine. Aujourd’hui encore, ces deux territoires continuent d’exercer sur moi leur empreinte. Mais ma vie personnelle et professionnelle (entrepreneur dans le public et le privé) est surtout marquée par les voyages et la rencontre avec l’autre (Cameroun, SaarLorLux, Lituanie, Pologne, Egypte, Europe centrale et Balkans). Contrairement à la violence ou l’isolement qui sont mortifères, le conflit est nécessaire à la vie. C’est pourquoi j’ai souhaité me former à la médiation. C’est elle qui constitue le fil rouge de tout mon parcours de vie et professionnel.
Allemagne, Europe centrale, Balkans
